Par crainte d’être jugées, réduites à leur orientation sexuelle ou leur identité de genre.
Cette peur n’est pas infondée : l’histoire de la psychiatrie et de certaines approches psychothérapeutiques a parfois été marquée par des discours normatifs ou pathologisants.
La psychanalyse psychodynamique se distingue de ces dérives. Elle n’a pas vocation à juger ou à « corriger » une identité, mais à offrir un espace de parole libre, où chacun peut explorer son histoire et ses désirs sans contrainte.
Mais de comprendre comment chacun vit ses choix, ses amours, ses relations.
L’orientation sexuelle et l’identité de genre ne sont pas des problèmes à « traiter » : elles font partie intégrante de l’histoire singulière de chaque personne.
La psychanalyse psychodynamique accueille donc les personnes LGBTQ+ sans pathologiser leur identité.
Rejet familial, discriminations, violences symboliques ou physiques.
Ces blessures peuvent avoir des répercussions durables sur l’estime de soi et les relations.
La psychanalyse offre un cadre bienveillant où ces expériences peuvent être déposées, mises en mots et transformées, sans crainte de jugement ni de réduction à un cliché.
La psychanalyse psychodynamique ne cherche pas à imposer une norme : elle accompagne chacun.e à mieux comprendre ses désirs, à dépasser ses souffrances et à construire des relations plus libres et plus authentiques.
Être soi-même dans son entière singularité constitue la base du travail analytique.